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Job 19:25-26 (Annotée Neuchâtel)

   25 Et moi, je sais que mon vengeur est vivant ;
Et qu'il s'élèvera le dernier sur la poussière.
   26 Et quand après ma peau ce reste aura été détruit,
Sans ma chair, je verrai Dieu !

Références croisées

19:25 Jb 33:23-24, Ps 19:14, Es 54:5, Es 59:20-21, Ep 1:7, Gn 3:15, Gn 22:18, Jn 5:22-29, Jud 1:14
Réciproques : Nb 24:17, Dt 31:29, Js 2:9, Rt 2:20, 2S 22:47, Jb 13:15, Jb 14:12, Jb 14:14, Ps 138:7, Pr 14:32, Es 2:2, Es 30:8, Es 41:14, Jr 48:47, Dn 12:2, Os 13:14, Mt 22:29, Mc 12:24, Jn 5:28, Jn 11:25, Ac 2:27, Ac 24:15, Ac 26:6, Rm 5:2, 2Co 5:1, 1Th 1:10, 1Th 4:13, Tt 2:13, He 9:27, He 11:13, 1P 1:5, Ap 1:18
19:26 Ps 17:15, Ps 16:9, Ps 16:11, Mt 5:8, 1Co 13:12, 1Co 15:53, Ph 3:21, 1Jn 3:2, Ap 1:7
Réciproques : Gn 3:19, Jb 7:5, Jb 14:10, Jb 14:14, Jb 14:22, Jb 17:14, Jb 21:26, Jb 24:20, Ps 138:7, Jn 5:28, Ac 12:23, Ac 13:36, Ac 24:15, 2Co 4:16, 2Co 5:1, Ph 1:23, He 12:14

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
Job 19
  • 19.25 Mon vengeur. Le terme hébreu employé ici désigne celui qui prend en main la défense d'un parent ou d'un proche, qu'il s'agisse de venger le sang répandu (Nombres 35.12 19), ou de racheter une propriété (Ruth 4.4), ou de prévenir l'extinction d'une famille (Ruth 3.12), ou en général d'empêcher qu'on ne fasse tort à un protégé. On pourrait traduire ce mot Goël par avocat, défenseur, garant, et on l'a traduit souvent par rédempteur. Dans ce verset, Job ne dit pas encore qui est ce vengeur.
    Le dernier, ou plus exactement après moi.
    Sur la poussière : non pas sur la terre, comme s'il ne s'agissait que d'une apparition de Dieu dans ce monde en faveur de Job (car, au chapitre 38, quand aura lieu cette intervention divine, le Seigneur parlera d'un tourbillon et ne se posera pas sur la poussière de la terre), mais sur ma tombe, où mon corps sera réduit en poussière. Ainsi seulement se justifie l'expression : le dernier ou après moi.
  • 19.26 Les termes de ce verset indiquent clairement que la mort sera intervenue quand se passeront ces choses : on ne saurait vivre sans peau ni chair. Ici Dieu est nommé comme le garant mentionné au verset 25. Ce vengeur est vivant, c'est-à-dire que non seulement il existe, mais qu'il est prêt à agir. Je puis en venir à mourir, mais, même alors, il vivra, et je le verrai.