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Luc 13:11-13 (Annotée Neuchâtel)

11 et voici une femme qui avait un esprit d'infirmité depuis dix-huit ans, et qui était courbée et ne pouvait absolument pas se redresser. 12 Mais Jésus la voyant, l'appela à lui et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité. 13 Et il lui imposa les mains, et à l'instant elle fut redressée, et elle glorifiait Dieu.

Références croisées

13:11 Lc 13:16, Lc 8:2, Jb 2:7, Ps 6:2, Mt 9:32-33, Lc 8:27, Lc 8:43, Mc 9:21, Jn 5:5-6, Jn 9:19-21, Ac 3:2, Ac 4:22, Ac 14:8-10, Ps 38:6, Ps 42:5, Ps 145:14, Ps 146:8
Réciproques : Mt 9:6, Mc 5:25, Ac 14:10
13:12 Lc 6:8-10, Ps 107:20, Es 65:1, Mt 8:16, Lc 13:16, Jl 3:10
13:13 Lc 4:40, Mc 6:5, Mc 8:25, Mc 16:18, Ac 9:17, Lc 17:14-17, Lc 18:43, Ps 103:1-5, Ps 107:20-22, Ps 116:16-17
Réciproques : Gn 48:14, Mt 12:13, Mc 2:12, Mc 3:4, Mc 5:23, Lc 5:25, Lc 6:6, Lc 8:44, Ac 3:7, Ac 28:8, He 12:3

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
Luc 13
  • 13.11 et voici une femme qui avait un esprit d'infirmité depuis dix-huit ans, et qui était courbée et ne pouvait absolument pas se redresser. L'histoire de cette guérison nous a été conservée par Luc seul.
    - Un esprit d'infirmité est un état maladif attribué à un mauvais esprit.
    Jésus lui-même confirme expressément cette opinion. (verset 16) Le mal parait avoir eu son siège dans le système nerveux ; de là une contraction qui tenait cette pauvre femme courbée, et cela depuis dix-huit ans !
  • 13.13 Et il lui imposa les mains, et à l'instant elle fut redressée, et elle glorifiait Dieu. La seule vue de cette longue souffrance émeut la compassion du Sauveur. Sans attendre que la malade invoque son aide et lui demande la guérison, il l'appelle à lui et prononce la parole puissante : Tu es délivrée !
    Le verbe est au parfait, exprimant le fait déjà accompli et la permanence de la guérison. La foi de la malade s'attache à cette déclaration et obtient ainsi la délivrance. Cependant Jésus lui impose les mains, afin d'entrer en communication avec elle, pour rendre à son cœur le calme et la confiance, aussi bien que la force à sa volonté débile. La reconnaissance de la malade éclate en des paroles d'actions de grâce, par lesquelles elle glorifiait Dieu.