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1 Timothée 5:14
(Annotée Neuchâtel)
1 Timothée 5:14 Je veux donc que les jeunes se marient, qu'elles aient des enfants, qu'elles gouvernent leur maison, qu'elles ne donnent aucune occasion à l'adversaire de médire.

Références croisées

5:14 1Tm 2:8, 1Tm 5:11, 1Tm 4:3, 1Co 7:8-9, He 13:4, Gn 18:6, Gn 18:9, Pr 14:1, Pr 31:27-29, Tt 2:5, 1Tm 6:1, 2S 12:14, Dn 6:4, Rm 14:13, 2Co 11:12, Tt 2:5, Tt 2:8, 1P 4:14-15, Lc 23:35-41
Réciproques : Gn 2:24, Gn 39:10, Dt 22:14, Rt 3:1, Ne 5:9, Ne 6:13, Ps 119:39, Pr 7:11, Pr 31:13, Jr 29:6, Mt 18:7, Mc 9:42, Rm 2:24, Rm 12:17, 2Co 8:21, Ph 2:15, 1Tm 3:7, 1Tm 5:9, Tt 2:4, 2P 2:2

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
1 Timothée 5
  • 5.14 Je veux donc que les jeunes se marient, qu'elles aient des enfants, qu'elles gouvernent leur maison, qu'elles ne donnent aucune occasion à l'adversaire de médire. Il y a dans le texte original : "Je veux donc que celles qui sont plus jeunes se marient ;" d'où quelques interprètes ont conclu qu'il s'agissait non des jeunes veuves, mais des jeunes femmes en général. Cela n'est pas admissible.
    Dans tout ce qui précède et ce qui suit, l'apôtre ne parle que des veuves ; il vient de les désigner (1Timothée 5.11) par ces mêmes mots plus jeunes, qu'il reprend ici, et n'a pas maintenant la moindre occasion de parler du mariage des jeunes femmes en général.
    Du reste, son ordre actuel est en pleine harmonie avec ce qu'il dit ailleurs de la liberté des veuves à l'égard du mariage. (1Corinthiens 7.39) Que si, à Corinthe, il conseillait plutôt aux veuves, et même aux jeunes personnes non mariées, de rester dans cet état, ce n'était point une règle permanente qu'il prescrivait, mais il avait égard "à la nécessité présente." (1Corinthiens 7.26)
    En d'autres temps et d'autres lieux, il pouvait donner un avis différent sur un sujet dans lequel le chrétien reste toujours libre, et les pressants motifs que Paul voit dans l'état actuel des Eglises d'Asie, et que cette épître nous fait connaître, justifient abondamment son conseil. Il ne s'agissait de rien moins que de faire cesser dans les Eglises un scandale, et d'ôter à l'adversaire toute cause de médisance. (Grec : "d'injures.")
    Le verset suivant (1Timothée 5.15) montre de plus grands dangers encore.