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2 Corinthiens 1:3-4 (Annotée Neuchâtel)

   3 Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes, et le Dieu de toute consolation, 4 qui nous console en toute notre affliction, afin que, par la consolation dont nous sommes consolés nous-mêmes par Dieu, nous puissions aussi consoler les autres, dans quelque affliction qu'ils se trouvent.

Références croisées

1:3 Gn 14:20, 1Ch 29:10, Ne 9:5, Jb 1:21, Ps 18:46, Ps 72:19, Dn 4:34, Ep 1:3, 1P 1:3, 2Co 11:31, Jn 5:22-23, Jn 10:30, Jn 20:17, Rm 15:6, Ep 1:3, Ep 1:17, Ph 2:11, 2Jn 1:4, 2Jn 1:9, Ps 86:5, Ps 86:15, Dn 9:9, Mi 7:18, Rm 15:5
Réciproques : Gn 19:16, Jb 15:11, Jb 29:25, Ps 25:6, Ps 59:10, Ps 119:76, Es 33:2, Es 51:3, Es 51:12, Jn 16:33, Ac 16:40, 2Co 7:6, Ph 1:14, 2Th 2:17, 2P 1:17
1:4 2Co 7:6-7, Ps 86:17, Es 12:1, Es 49:10, Es 51:3, Es 51:12, Es 52:9, Es 66:12-13, Jn 14:16, Jn 14:18, Jn 14:26, 2Th 2:16-17, 2Co 1:5-6, Ps 32:5, Ps 32:7, Ps 34:2-6, Ps 66:16, Es 40:1, Es 66:14, Ph 1:14, 1Th 4:18, 1Th 5:11, He 12:12
Réciproques : Gn 32:7, Ex 40:9, Jb 29:25, Ps 32:6, Ps 71:21, Ps 94:19, Es 33:2, Es 57:15, Es 61:2, Jr 14:8, Jr 45:2, Mt 5:4, Mt 11:30, Lc 6:21, Lc 22:32, Jn 11:19, Ac 20:12, Ac 27:22, Ac 27:36, Rm 5:4, Rm 15:5, 1Co 14:3, 1Co 14:31, 2Co 4:15, 2Co 7:4, 2Co 12:10, 2Co 13:11, Col 2:2, Col 4:8, 1Th 3:7

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
2 Corinthiens 1
  • 1.3 Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes, et le Dieu de toute consolation, Comparer sur le rapport de ces termes : Dieu des miséricordes, de consolation, de patience, de paix, Romains 15.5, note.
    Père des miséricordes ne signifie pas seulement Père miséricordieux ; mais l'apôtre désigne par là Celui qui, devenu pour ses enfants un tendre Père réconcilié, est pour eux la source intarissable de toutes les miséricordes dont ils sont et seront les objets. Il en est de même de ces mots : Dieu de toute consolation.
  • 1.4 qui nous console en toute notre affliction, afin que, par la consolation dont nous sommes consolés nous-mêmes par Dieu, nous puissions aussi consoler les autres, dans quelque affliction qu'ils se trouvent. L'apôtre dit nous, et il ne comprend pas seulement lui et Timothée (verset 1) dans ce pluriel significatif, mais aussi ses frères auxquels il écrit. Telle est la réalité et l'intimité de la communion dans laquelle Paul se sent avec les Eglises, qu'il considère toutes ses expériences, afflictions ou consolations, comme étant à la fois son partage et celui des âmes qui lui sont confiées. (versets 6,7,11)
    - Ce grand et saint avantage des afflictions, pour les serviteurs de Dieu et pour les chrétiens en général, c'est qu'après avoir été ainsi affligés et consolés par Dieu lui-même, ils sont aussi rendus capables de consoler leurs frères dans leurs douleurs. Quiconque n'a pas souffert et éprouvé la puissance de la grâce pour relever le courage, ne saurait offrir aux âmes affligées les vraies consolations.