Lueur.org - Un éclairage sur la foi

Comparer

Ecclésiaste 4:7-12

Ec 4:7-12 (Darby)

   7 Et je me tournai, et je vis la vanité sous le soleil : 8 tel est seul sans qu'il y ait de second : il n'a pas non plus de fils ni de frère, et il n'y a pas de fin à tout son labeur ; son œil n'est pas non plus rassasié par la richesse, et [il ne se dit pas] : Pour qui donc est-ce que je me tourmente et que je prive mon âme de bonheur ? Cela aussi est une vanité et une ingrate occupation. 9 Deux valent mieux qu'un ; car ils ont un bon salaire de leur travail. 10 Car, s'ils tombent, l'un relèvera son compagnon ; mais malheur à celui qui est seul, et qui tombe, et qui n'a pas de second pour le relever ! 11 De même, si l'on couche à deux, on a de la chaleur ; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ? 12 Et si quelqu'un a le dessus sur un seul, les deux lui tiendront tête ; et la corde triple ne se rompt pas vite.

Ec 4:7-12 (Segond 1910)

   7 J'ai considéré une autre vanité sous le soleil. 8 Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n'a ni fils ni frère, et pourtant son travail n'a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances ? C'est encore là une vanité et une chose mauvaise. 9 Deux valent mieux qu'un, parce qu'ils retirent un bon salaire de leur travail. 10 Car, s'ils tombent, l'un relève son compagnon ; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever ! 11 De même, si deux couchent ensemble, ils auront chaud ; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ? 12 Et si quelqu'un est plus fort qu'un seul, les deux peuvent lui résister ; et la corde à trois fils ne se rompt pas facilement.

Ec 4:7-12 (Martin)

   7 Puis je me suis mis à regarder une [autre] vanité sous le soleil ; 8 C'est qu'il y a tel qui est seul, et qui n'a point de second, qui aussi n'a ni fils ni frère, et qui cependant ne met nulle fin à son travail ; même son œil ne voit jamais assez de richesses, [et il ne dit point en lui-même] : Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon âme du bien ? Cela aussi [est] une vanité, et une fâcheuse occupation. 9 Deux valent mieux qu'un ; car ils ont un meilleur salaire de leur travail. 10 Même si l'un des deux tombe, l'autre relèvera son compagnon ; mais malheur à celui qui est seul ; parce qu'étant tombé, il n'aura personne pour le relever. 11 Si deux aussi couchent ensemble, ils en auront [plus] de chaleur ; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ? 12 Que si quelqu'un force l'un ou l'autre, les deux lui pourront résister ; et la corde à trois cordons ne se rompt pas sitôt.

La versification des traductions pouvant varier, l'alignement ne correspond parfois pas à la même phrase.

Afficher une version unique pour accéder aux notes et références croisées