DRB ¹ Car la loi, ayant l'ombre des biens à venir, non l'image même des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices que l'on offre continuellement chaque année, rendre parfaits ceux qui s'approchent.

DRB ² Autrement n'eussent-ils pas cessé d'être offerts, puisque ceux qui rendent le culte, étant une fois purifiés, n'auraient plus eu aucune conscience de péchés ?

DRB ³ Mais il y a dans ces [sacrifices], chaque année, un acte remémoratif de péchés.

DRB ⁴ Car il est impossible que le sang de taureaux et de boucs ôte les péchés.

DRB ⁵ C'est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit : «Tu n'as pas voulu de sacrifice ni d'offrande, mais tu m'as formé un corps.

DRB ⁶ Tu n'as pas pris plaisir aux holocaustes ni aux sacrifices pour le péché ;