Lueur.org - Un éclairage sur la foi

Comparer

Esaïe 58:3-7

Es 58:3-7 (Annotée Neuchâtel)

   3 Pourquoi avons-nous jeûné, et tu ne l'as pas vu ? avons-nous humilié nos âmes, et tu n'y prends pas garde ?
Voici, au jour de votre jeûne, vous faites vos affaires et vous poursuivez tous vos travaux ! 4 Voici, c'est pour vous disputer et vous quereller que vous jeûnez, et pour frapper du poing méchamment ; vous ne jeûnez pas, en ce jour, de manière à faire écouter votre voix d'en-haut. 5 Est-ce là un jeûne qui puisse me plaire, un jour où l'homme humilie son âme ? Courber la tête comme un jonc, se coucher sur le sac et la cendre, est-ce là ce que tu appelles un jeûne, un jour agréable à l'Eternel ? 6 N'est-ce pas ici le jeûne qui me plaît : qu'on détache les chaînes injustes, qu'on délie les noeuds du joug, qu'on renvoie libres les opprimés et que vous brisiez toute sorte de joug ? 7 N'est-ce pas que tu rompes ton pain à celui qui a faim, et que tu fasses entrer chez toi les malheureux sans asile ; si tu vois un homme nu, que tu le couvres, et que tu ne te détournes point de celui qui est ta propre chair ?

Es 58:3-7 (Darby)

   3 Pourquoi avons-nous jeûné, et tu ne l'as pas vu ? [et] avons-nous affligé nos âmes, et tu ne le sais pas ? Voici, au jour de vos jeûnes, vous cherchez votre plaisir, et vous exigez durement tous les travaux qui vous sont dus*. 4 Voici, vous jeûnez pour contester et quereller, et pour frapper d'un poing méchant. Vous ne jeûnez pas maintenant, pour faire entendre votre voix en haut. 5 Est-ce un jeûne comme celui-là que j'ai choisi, un jour où un homme afflige son âme ? Courber sa tête comme un roseau, et étendre sous soi le sac et la cendre, appelleras-tu cela un jeûne, et un jour agréable à l'Éternel ? 6 N'est-ce pas ici le jeûne que j'ai choisi, qu'on rompe* les chaînes de l'iniquité, qu'on fasse tomber les liens du joug, et qu'on renvoie libres les opprimés, et que vous brisiez tout joug ? 7 N'est-ce pas que tu partages ton pain avec celui qui a faim, et que tu fasses entrer dans la maison les affligés qui errent sans asile ! quand tu vois un homme nu, que tu le couvres, et que tu ne te caches pas à ta propre chair ?

La versification des traductions pouvant varier, l'alignement ne correspond parfois pas à la même phrase.

Afficher une version unique pour accéder aux notes et références croisées